Association française pour l’enseignement du français

La Lettre de l'AFEF

  • 04
    Juin

    La Lettre de l'AFEF n° 71 - Juin 2017

    ...Nos inventions d’aujourd’hui sont les bases d’une École plus juste, nos expériences présentes font l’avenir. Ne cédons pas sur ce que nous savons bien faire. Pas de retour en arrière. Osons nous faire reconnaitre comme des professionnels responsables qui savent inscrire leur action dans la durée ! Confiance et respect, «au nom de la continuité des politiques», Monsieur le Ministre !

     

     

     

    Édito

    Confiance et respect : osons !

    En matière d’éducation, comme dans d’autres domaines, il y a l’esprit, et il y a la lettre. Il y a un programme électoral, qui prône à la fois de grandes valeurs d’équité et une plus grande autonomie. Et il y a la nomination d’un ministre peu connu jusque-là pour des engagements aux côtés de ceux qui s’emploient à faire progresser l’École de la réussite pour tous. Nous pouvons attendre de voir, laisser passer la rentrée, ne pas nous laisser aller trop vite à une polémique facile. Autonomie… Optimisme… Nous pouvons écouter…

    Le Ministre choisit Poitiers pour sa première visite. La presse locale titre : Jean-Michel Blanquer : « Poitiers est la capitale de l’Éducation nationale » (Drôle de consolation pour une Académie sans pouvoir régional… « Au nom de la continuité des politiques »...) C’est ma ville, c’est aussi la ville de l’ESEN, du CNED, de Canopé… À l’occasion de sa visite des sites, le Ministre souligne l’importance du développement du numérique, et met en avant les enjeux de formation pour accompagner sa stratégie numérique. Signal intéressant.

    Mais la veille, le même journal publiait un entretien : « Nous devons ouvrir les fenêtres ». Le Ministre y définit l’autonomie par la confiance et le respect (sans précisions…). « L’attention aux plus fragiles » passe par la maternelle, qui « doit être encore davantage l’école du langage ». L’engagement présidentiel du dédoublement des CP en REP+ est réaffirmé. Puis, M. Blanquer pourfend « l’argument de l’égalitarisme » qui aurait justifié la suppression des classes bilangues, tout en défendant cet égalitarisme pour instaurer les devoirs à l’école. Enfin, le pragmatisme, maitre-mot, lui sert à justifier la « liberté » en matière de rythmes scolaires. Il prône l’ouverture, aux « expériences, françaises et internationales ». Étonnants éléments de langage dans un entretien qui veut concilier « le meilleur de notre tradition et le meilleur de notre modernité », et « dépasser les vieilles querelles pour faire vivre le nouvel optimisme français ». Ouverture, optimisme, confiance, respect, faut-il y croire ?

    Derrière un souci de rassurer, les propositions du Ministère pour l’éducation se présentent comme des évidences, que le bon sens ne pourrait qu’approuver. Et si les mots y perdaient leur sens…
     

    Quelques fausses évidences.

    1. Il suffit de réduire le nombre d’élèves par classe pour qu’ils réussissent.[1] Certes, il est plus confortable, pour les élèves et pour nous, enseignants, de ne pas avoir des classes surchargées. L’enseignant, avec 12 élèves, a plus de temps pour être attentif à chacun. C’est la mesure phare du programme présidentiel, celle qui ne peut pas être discutée, nous l’avons bien compris lors d’une entrevue préélectorale, malgré nos arguments de poids.

    Mais deux objections.

    -       La bonne volonté suffit-elle ? Si l’enseignant n’est pas formé aux attitudes et gestes professionnels qui vont lui permettre une attention et un accompagnement efficaces, les résultats risquent d’être bien décevants au vu des moyens déployés.

    -       Et, comment fait-on, concrètement ? Comment trouve-t-on rapidement autant de locaux et autant d’enseignants ? Pourquoi avoir choisi le nombre de 12 ? Pierre Merle suggérait dans Le Mondedu 20 mai, le nombre de 16, beaucoup moins couteux… Et pourquoi, par la même occasion, casser le dispositif Plus de Maitres Que de Classes[2] très largement plébiscité par les enseignants ? Où est le pragmatisme ?

    2. L’autonomie, c’est la liberté de choisir. Liberté pour qui ?

    -       Liberté des rythmes scolaires, sous-entendu retour à la semaine de quatre jours ? Mais, comment peut-on prétendre s’ouvrir aux expériences internationales et donner la pseudo-liberté de revenir à une semaine de quatre jours qui n’existe nulle part au monde ? Les enfants seraient plus fatigués depuis qu’ils vont à l’école le mercredi matin !… Mais alors comment font la plupart des enfants du monde qui vont à l’école du lundi au vendredi, y compris dans les lycées français à l’étranger ? Et comment faisaient tous les petits Français dont la ville avait adopté depuis plus de vingt ans la semaine continue du lundi au vendredi, avant que le Ministre Darcos ne vienne tout bouleverser ? Au nom de quelle liberté et de quelle équité peut-on justifier de condenser les apprentissages sur quatre jours ?

    -       Liberté de choisir les EPI… Ce cadrage de l’interdisciplinarité au collège serait rendu non obligatoire, chaque collège ferait comme il voudrait… Et les thèmes seraient supprimés, les collèges qui voudraient continuer à pratiquer les EPI choisiraient leurs thématiques… Retour à la situation antérieure, où l’interdisciplinarité dépendait de la volonté des acteurs. Certes, l’injonction de dispositifs perçus comme trop contraignants peut produire des effets inverses de ceux escomptés. Mais quel signal négatif envoyé à tous ces principaux qui se sont démenés et ont convaincu leurs équipes de mettre en place une réforme dont ils attendaient des progrès pour leurs élèves ! Quel signal négatif pour tous les enseignants comme nous qui trouvaient enfin un espace reconnu pour tous les projets qu’ils mettent en place depuis des années !

    -       Liberté de choisir le latin et le grec… Liberté de rétablir les classes bilangues. Bref rappel, le latin et le grec ont continué à être enseignés comme enseignement de complément, pas seulement dans l’EPI « Langues et cultures de l’Antiquité ». Et des classes bilangues ont été maintenues, bizarrement de manière très inégalitaire selon les Académies ! Or, quand on parle du latin-grec et des classes bilangues, est-ce bien « l’argument de l’égalitarisme qui a fondé (leur) disparition » comme le soutient Jean-Michel Blanquer ? N’est-ce pas plutôt l’argument de l’équité que soutenait la précédente Ministre ? Supprimer ce qui sert à ceux qui ont déjà beaucoup pour donner à ceux qui ont moins…
     

    Alors, puisque notre Ministre prétend privilégier « l’attention aux plus fragiles » et « faire vivre le nouvel optimisme français », prenons-le aux mots. Soyons pragmatiques, à notre tour.

    -       Restaurons les classes bilangues, mais dans les zones les plus fragiles, les zones géographiques oubliées, rurales ou urbaines, où leur implantation ferait une vraie différence. Réorganisons-y aussi l’enseignement du latin et du grec. Dans les zones socialement privilégiées, les parents sauront toujours quoi faire pour que leurs enfants apprennent les langues et les humanités. Ainsi, ces éléments différentiels auxquels nous aurons redonné un peu d’espace, de liberté, pourront-ils jouer leur rôle non pas égalitaire, mais équitable.

    -       Prenons aussi notre liberté d’enseigner à plusieurs, de croiser nos regards sur les élèves, de partager nos expériences, de faire de la priorité du langage la base de l’interdisciplinarité. De travailler en équipe, comme nous tentons de le faire depuis longtemps.
    Évidemment, nous y serions aidés si dans le grand plan de construction de classes que semblent annoncer les CP à 12 élèves, le Ministère pensait aussi à nous construire des bureaux, des espaces de travail réservés. Il nous serait alors certainement plus facile de rester travailler dans nos établissements et ne plus les fréquenter en libéraux nomades. Nous prendrions la liberté de nous détacher de « la classe » et de penser notre place et notre rôle dans un collectif où différents professionnels travaillent ensemble pour que les élèves apprennent.

    -       Nous avons la liberté de choisir nos thèmes d’enseignements interdisciplinaires. Là encore, soyons pragmatiques. Rien ne nous empêche de garder les thèmes proposés cette année, s’ils nous conviennent. Et nous pouvons en déborder légèrement, ou plus largement, aller voir ailleurs, inventer, créer, comme nous savons si bien le faire. Tous les outils sont à notre disposition, ordinateurs, livres, crayons, tablettes, réseaux, expositions, cinéma… Soyons optimistes, puisque c’est un des éléments de langage ministériels.

    Et notre créativité fera boule de neige. Travaillons en équipes, pratiquons l’interdisciplinarité comme levier pour la motivation et la maitrise des langages, usons des outils numériques aussi souvent qu’ils permettront aux élèves de mieux apprendre, mettons nos élèves au travail ensemble, en équipes, et grignotons les inégalités au plus près, par des changements parfois ténus mais significatifs, sans attendre qu’ils nous soient dictés d’en haut.
     

    Nous sommes pragmatiques, autonomes, enthousiastes, notre expérience est le laboratoire de l’École de la réussite pour tous. Pour paraphraser le dernier opus de Jacques Rancière[5], « ce sont les présents seuls qui créent les futurs », nos inventions d’aujourd’hui sont les bases d’une École plus juste, nos expériences présentes font l’avenir. Ne cédons pas sur ce que nous savons bien faire. Pas de retour en arrière. Osons nous faire reconnaitre comme des professionnels responsables qui savent inscrire leur action dans la durée ! 

    Confiance et respect, « au nom de la continuité des politiques », Monsieur le Ministre ! 

    Viviane YOUX                                                                     Lire l'édito en PDF



    [1]
    On peut lire la publication de Iannis Roder,De la théorie à la pratique, le programme d’Emmanuel Macron pour l’école, Fondation Jean Jaurès, https://jean-jaures.org/nos-productions/de-la-theorie-a-la-pratique-le-programme-d-emmanuel-macron-pour-l-ecole
    [2] Voir la pétition Pour la pérennisation du dispositif PDMQDC : https://www.change.org/p/emmanuel-macron-ne-détricotons-pas-le-dispositif-pdmqdc
    [3]Jacques Rancière, En quel temps vivons-nous ?, La fabrique éditions, avril 2017, p. 60

     

    À la Une

    Les nouveaux programmes de français au collège et l’histoire littéraire : actualisation, problématisation  (Site de l’Académie de Créteil) 
    « Maintenir vif l’échange entre actualité de la recherche et enseignement de la littérature au collège est apparu particulièrement judicieux en cette rentrée 2016 où les programmes de français invitaient pour la première fois à élaborer, en s’appuyant sur des corpus représentatifs de l’histoire littéraire, de nouveaux questionnements à partir d’entrées thématiques. Il s’agit bien de donner tout son sens à l’enseignement de cette discipline, à l’acquisition d’une culture commune, à la construction de compétences interprétatives et expressives, en permettant aux élèves d’appréhender des enjeux littéraires mais aussi de formation personnelle… »
     

    Une pétition : Pas d’agrégation de Lettres sans autrice
    « Douze auteurs, aucune autrice, pour la neuvième fois au cours des vingt-cinq dernières années. C'était aussi le cas en 1997, en 1998, en 1999, en 2004, en 2007, en 2008, en 2009 et en 2016. En fait, depuis 1994, les programmes d'agrégation de lettres n'ont proposé que treize autrices… »
     

    Ognon, chronique de Alain Chevarin sur Questions de classe(s)
    « Le fait que, en ce mois de mai 2017, vingt-sept ans après la publication des « rectifications orthographiques » recommandées par le Conseil supérieur de la langue française en 1990 et insérées par Darcos dans les programmes scolaires en 2008, une chroniqueuse de télévision en mal de buzz ait vivement reproché à l’ex-ministre de l’éducation Vallaud-Belkacem cette prétendue « réforme de l’orthographe » est révélateur de deux phénomènes inquiétants, l’un sociétal, l’autre politique. »

     

    Agenda
    7 juin - Pratiques autobiographiques en situations de formation et de recherche, DILTEC-INALCO, Université Sorbonne-Nouvelle, Paris
    7 juin - Prédicat, recherche et enseignement, Journée d'étude, ESPE Nanterre
    7 juin - Visites aux musées, situations et discours, Journée d'étude Lille
    8 juin - Les adolescents et les marques, colloque organisé par Lecture Jeunesse, Paris
    12 juin - Histoire, historicité en didactique des langues, Paris
    10-11-12 juillet - UNIVERSITÉ D'ÉTÉ DU GFEN, Contre toute fatalité : l'Éducation Nouvelle. Bédarieux (Hérault)
    17 au 23 aout - Rencontres du CRAP-Cahiers pédagogiques Des pratiques pour former des élèves autonomes et solidaires. Brudou (Hautes-Alpes)

     

    Notes de lecture

    Nathalie HEINICH, Des valeurs. Une approche sociologique. « VALEURS, JUGEMENTS, CRITÈRES DE CHOIX, PRÉFÉRENCES :

    pour essayer d’y voir plus clair. Un ouvrage récemment paru peut permettre de mieux envisager la notion de valeur et de la mettre en relation avec celles de « jugement de valeur », de « critère de choix », d’ « opinions », de « préférence individuelle » : il s’agit du livre de Nathalie HEINICH « Des valeurs ; une approche sociologique », Gallimard NRF, Bibliothèque des idées, 2017. En effet, comme le souligne d’entrée cette auteure, « La vie sociale est pleine d’opinions : du cinéma à la politique, de la religion à la gastronomie (…) La notion d’opinion et celle de jugement sont à peu près interchangeables eu égard à la question des valeurs (…) jugement de fait (il fait chaud), jugement de valeur (il fait plus chaud aujourd’hui qu’hier), jugement prédicatif (il fera encore plus chaud demain) … » (p. 33). Note de lecture de Gérard Malbosc

     

    Catherine FRIER, Sur le chemin des textes. Comment s’approprier l’écrit de l’enfance à l’âge adulte. « Un excellent ouvrage à lire et surtout à relire, et ce pour de multiples raisons. La première est certainement l’ambition réussie d’aborder la question de l’appropriation de l’écrit (la lecture et l’écriture) en s’intéressant aux sujets apprenants depuis leurs premières rencontres avec les livres ou albums à la maison, jusqu’à la formation du sujet lecteur scripteur à l’université. Cette vision longitudinale des difficultés, facilités, refus, appétit, aversion, aisance, diversité des postures de lecture des apprenants est toujours mise en relation avec ce que l’on sait des pratiques scolaires dominantes, mais aussi ce qu’on sait des pratiques privées des élèves. » Note de lecture de Dominique Bucheton

     

    Kaoutar Harchi, Je n’ai qu’une langue, ce n’est pas la mienne. Des écrivains à l’épreuve. « Dans cet essai, dont le titre reprend une phrase de Jacques Derrida, elle (Kaoutar Harchi) analyse les relations entre langue et publication dans l’univers littéraire français et francophone. Et elle pose la question de la reconnaissance des écrivains non français, mais écrivant en français. Leur situation est complexe quand ils sont issus de la colonisation, notamment algérienne, et ont vécu à une époque où ils étaient Français. » Note de lecture de Viviane Youx

     

     

    Annonces

    Recherche enseignants pour…

    Entretiens sur les utilisations du cinéma en classe

    Dans le cadre de la conception de son nouveau site internet, le site Zérodeconduite réalise une étude sur les utilisations du cinéma en classe. Lire l’appel 

     

    Concours élèves

    Concours Marie Curie 2017

    Hommage en forme de lettre à Marie Curie, la femme scientifique la plus célèbre du monde. Lire la présentation, le règlement, et accéder au bulletin d’inscription

     

    Cinéma

    049267.jpgCHURCHILL, film de Jonathan Teplitzky

    Parenthèse Cinéma accompagne le film CHURCHILL, en salles depuis le 31 mai, et propose aux enseignants un dossier pédagogique complet téléchargeable, base de travail dans le cadre de l'étude du film avant et après l'avoir vu au cinéma. 

     

     

     

    L’AFEF, une association

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    L’AFEF a changé de nom

    AFEF signifie désormais : Association française pour l’enseignement du français 

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    Publications

    Revue AFAÉ N° 152 – déc 2016 - Qu’est-ce qu’apprendre ? Le numéro 152 de la revue de l’AFAÉ aborde notamment la lecture et le fonctionnement du cerveau, le raisonnement et apprentissages des sciences, l’apprentissages scolaires et non scolaires avec le numérique, apprendre à l’école maternelle, « apprendre par le corps » ou comment associer climat et réussite scolaire, apprendre pour réussir : ensemble ou séparés ?

     

     

    Classes inversées, Cahiers pédagogiques  n° 537 - mai 2017 La classe inversée, on en parle beaucoup, des partisans enthousiastes et des opposants décidés s'opposent. Est-ce une mode passagère, un gadget pédagogique, ou l'amorce d'un changement de fond ? Au-delà des définitions (trop) simples, ce dossier s'attache à mieux cerner ce qu'est la classe inversée.

     

     

    Objets disciplinaires / Pensée complexe, Dialogue n° 164 - Revue du GFEN, Avril 2017 Ce numéro de Dialogue visite des questions toujours vives dans notre système éducatif : celles de l'organisation/découpage des connaissances et de leur enseignement, en disciplines « académiques » et ses conséquences.

     

     

     

     

    Écrire, prescrire, interdire : les professionnels face à la littérature de jeunesse aujourd'hui, Christine Mongenot Sylviane Ahr (éds). En vente sur le site de l’AFEF - Bon de commande

    LJ-Mongenot-Ahr.jpeg« L’émergence d’un champ de recherche pluridisciplinaire autour de la littérature de jeunesse est un phénomène que le colloque organisé en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France en juin 2011 a clairement confirmé. Cette rencontre, dont il a été rendu compte dans un ouvrage collectif, a révélé le foisonnement des travaux de recherche consacrés à la littérature de jeunesse, en particulier depuis son introduction dans les programmes d’enseignement de l’école primaire, ainsi que la multiplication des espaces de formation, des manifestations scientifiques et des publications qui lui sont désormais consacrés. Mais si l’on veut dépasser ce premier constat, déjà bien étayé, comment expliquer ce développement exponentiel de discours et de pratiques sociales, culturelles et scolaires autour de cet objet aux enjeux historiquement éducatifs ? On ne peut désormais se contenter d’observer et de recenser ces discours et ces pratiques hétérogènes, qui se développent dans des sphères professionnelles diverses et reposent sur des savoirs de référence eux-mêmes plus ou moins éclectiques. » Lire la présentation et le sommaire.

     

    Appels à contribution

    Ressources pour débuter 

    Dossier numérique des Cahiers pédagogiques - Lire l’appel

    Ce dossier de ressources s’adressera surtout aux débutants du premier comme du second cycle, de l’enseignement général comme de l’enseignement technique et professionnel, stagiaires, vacataires, néo-titulaires.

     

    Ressources de l’AFEF 

    Journées de l’AFEF

    CM-6ème : Mutualiser, oui, mais comment ? Lire le compte-rendu

    Enseigner la littérature : quels enjeux, quelles valeurs, quels corpus, quelles préconisations ? Lire le compte-rendu 

     

    Dossiers courants

     

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